Quebecius
Avec un tel nom, Quebecius quebecensis pourrait difficilement être trouvé ailleurs qu’au Québec!
(40 ko) Contrairement aux autres porolépiformes et à la plupart des sarcoptérygiens, Quebecius ne présente qu’une nageoire lobée, soit la pectorale, alors que les autres nageoires sont constituées de rayons s’enfonçant profondément dans le corps.
Quebecius ressemble beaucoup au genre Glyptolepis, un porolépiforme relativement commun au Dévonien. Mais Quebecius se distingue de Glyptolepis par une nageoire pelvienne dont la base est très large, une condition inconnue chez les autres porolépiformes.
(64 ko)Parmi les quelques spécimens trouvés, certains sont complets et d’autres sont en trois dimensions. De plus, plusieurs stades de croissance peuvent être observés, avec des dimensions de spécimens allant de 5 à 60 cm de long.
Comparés aux ostéolépiformes, les porolépiformes sont reconnus pour la petitesse de leur os operculaire, cette plaque qui recouvre les branchies chez les poissons. Mais chez Quebecius, cet os est extrêmement petit. La queue est épicerque, mais de façon moins prononcée que chez les autres membres du groupe. Malgré ces détails, l’espèce respecte la morphologie assez conservatrice des porolépiformes.
Quebecius ne semblait pas très abondant à Miguasha car seulement une vingtaine de spécimens ont été récoltés jusqu’à présent.
(40 ko) Contrairement aux autres porolépiformes et à la plupart des sarcoptérygiens, Quebecius ne présente qu’une nageoire lobée, soit la pectorale, alors que les autres nageoires sont constituées de rayons s’enfonçant profondément dans le corps.Quebecius ressemble beaucoup au genre Glyptolepis, un porolépiforme relativement commun au Dévonien. Mais Quebecius se distingue de Glyptolepis par une nageoire pelvienne dont la base est très large, une condition inconnue chez les autres porolépiformes.
(64 ko)Parmi les quelques spécimens trouvés, certains sont complets et d’autres sont en trois dimensions. De plus, plusieurs stades de croissance peuvent être observés, avec des dimensions de spécimens allant de 5 à 60 cm de long.Comparés aux ostéolépiformes, les porolépiformes sont reconnus pour la petitesse de leur os operculaire, cette plaque qui recouvre les branchies chez les poissons. Mais chez Quebecius, cet os est extrêmement petit. La queue est épicerque, mais de façon moins prononcée que chez les autres membres du groupe. Malgré ces détails, l’espèce respecte la morphologie assez conservatrice des porolépiformes.
Quebecius ne semblait pas très abondant à Miguasha car seulement une vingtaine de spécimens ont été récoltés jusqu’à présent.
